Je ne vous apprendrai rien sur la fête des mères que vous ne sachiez déjà.
Wikipédia vous en apprend davantage que je ne pourrai le faire.
Je peux simplement vous en parler d'une manière plus spirituelle puisque la "patronne" des mamans n'est autre que MARIE (patronne des mères et des futures mères)
Toujours d'après le livre de Jean-Robert Maréchal "Les saints patrons protecteurs"
Marieétait une jeune fille juive, fille de saint Joachim et de sainte Anne. Lors de sa conception, Dieu la préserva de toute trace de péché
originel (l'Immaculée Conception, fêtée le 8 décembre)
Sa naissance , célébrée par l'Église le 8 septembre, aurait eu lieu à Sepphoris ou à Nazareth.
La tradition penche plutôt pour Jérusalem, en un lieu proche de la piscine de Béthesda.
Celle-ci est située près d'une porte que les musulmans appellent aujourd'hui encore Bah Sitti Maryam, la Porte de la Vierge Marie.
Elle aurait été une enfant pleine de promesses pour ses parents qui avaient attendu longtemps avant de pouvoir obtenir une descendance. Le 21 novembre, l'Église commémore sa présentation au Temple, mais nul ne sait à quelle occasion exactement.
D'après des écrits apocryphes, elle demeura dans l'enceinte du Temple et fut élevée au milieu d'autres enfants juifs.
A l'âge de 14 ans, elle fut fiancée au charpentier Joseph, qui avait été désigné au grand prêtre par un miracle.
Alors qu'elle était encore fiancée, elle reçut la visite de l'archange Gabriel.
Et le reste...l'église vous le racontera mieux que moi.
Marie vécut la vie de n'importe quelle femme juive du peuple. Certains se focalisent sur Notre-Dame glorifiée en tant que reine des Cieux ou actrice des grands mystères de la vie de son Fils et oublient qu'elle mena la vie quotidienne d'une femme juive de l'époque.
Les titres grandiloquents qu'elle porte, les efforts désespérés des écrivains et des prédicateurs pour glorifier la Mère de Jésus risquent de nous faire oublier l'épouse de Joseph le charpentier.
Marie était également la femme d'un ouvrier. Ses mains étaient abîmées par le travail, ses pieds nus étaient poussiéreux, non pas de poudre parfumée mais de la poussière cuisante des chemins de Nazareth qui conduisaient aux puits, aux oliveraies, à la synagogue.
Trente ans plus tard, ces mêmes pieds, toujours fatigués et pousséreux, suivaient la vie publique de son Fils divin: des réjouissances des noces de Cana à Son abandon et à Sa désolation au mont Calvaire.
Une maman avant tout.
Je souhaite une fête pleine de tendresse et d'affection à toutes les mamans !
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